Uriel passa devant la boutique d'Ambre et regarda à l'intérieur.
Cela semblait bien morne maintenant, sans le Sergent.
Il n'avait jamais eu l'occasion de venir jusqu'à Vaudémont mais avait pu faire sa connaissance à la Garde, à l'Archidiocèse ou encore à Verdun.
Il vit deux de ses amis passer.
Je suis sincèrement désolé pour votre amie.
Je ne la connaissais pas beaucoup, mais le peu que je puisse en dire est qu'elle était une compatriote loyale avec la main sur le coeur, prête à aider les siens et ses amis.
Je suis conscient que je ne puis rien faire de plus, mais si vous avez besoin d'un soutien moral ou de discuter, vous pouvez venir me trouver.
Requiescat in pace, Ambre